
Un grand homme a dit : » Les gens ne changent pas, les masques tombent ».
Qu’il soit par protection ou par manipulation, tout le monde porte un masque.
Il est la frontière entre votre âme et la réalité. Entre le vous profond, celui que vous êtes seul à connaitre et les autres.
Quoi de plus normal. Qui oserait se montrer nu en pleine rue au milieu d’inconnus ?
Que se soit par pudeur ou par noirceur, par respect ou par mauvaises intentions;
Nous nous dissimulons tous, même avec la plus grande des sincérités.
Bal masqué ou bal d'apparences


Nous avons tous en nous une part de bien et de mal. C’est le fondement de l’humanité. Dans tous les peuples, toutes les religions, même dans le règne animal, nous avons tous cette partie de lumière et d’obscurité. En tout cas, nous l’avons appris. Et chacun fait ses choix en toute conscience de ce fameux bien et mal. Cela maintient un équilibre. Définit nos réactions.
Mais le mal a une façon bien à lui de revêtir ses actions. Il enfile ses plus belles parures, revête ses plus beaux attraits pour nous tromper et nous blesser. Mais comment le démasquer face à tant d’ingéniosité ? Les apparences sont toujours trompeuses. Chacun s’habille de masques. La seule chose qui reste à savoir, c’est qui la commande ? Le Bien ou Le Mal ?




L’hypocrisie, si maligne, arbore de bien jolies traits.
Elle joue avec les émotions et se révèle maître en dissimulation.
Elle se cache sous de beaux sourires, masque le vrai visage
et il est bien dur de la distinguer.
Mais cette part obscure, aussi rusée soit elle, finit toujours par se mettre à nu et nous montrer sa vraie nature.








Chacun de nos masques écrivent notre vie,
telle une partition de symphonie,
ils virevoltent et évoluent,
dansent et s’envolent.
Mais gare à ne pas vous perdre, car à trop vouloir jouer, il faudra vous l’arrachez pour vous en priver et ne pas succomber.


Quand la raison masque nos impulsions,
un masque est aussi une preuve de respect, d’éducation. Une marque de politesse et non une faiblesse. Qui serions-nous pour céder à nos moindre pulsions ?
Répondre à nos instincts les plus profonds. Faire sortir l’animal, l’homme de Cro-Magnon qui sommeille en nous. Qui serions nous pour céder à toutes ces tentations, ces tensions.
Ce masque porte un nom : Le contrôle.
Et si vous l’utilisez à bon escient, c’est aussi une preuve d’intelligence. Mais attention, il peut-être à double sens : toute chose est bonne à dire, c’est la manière et l’intention qui changent. Sinon un autre masque plus sombre pourrait vous jouer des tours : La frustration.




Et si, en vérité, seuls les masques comptaient ?
Et si c’était eux qui étaient le plus important ?
A chaque moment son déguisement.
Ne faut-il pas être un véritable artiste pour gérer tout ça ?
L’art de manier à chaque instant nos masques,
pour ne pas blesser, ne pas heurter mais aussi pour ce protéger.


On assimile souvent le masque à « malsain » alors qu’il est aussi notre premier allié.
Il est la barrière entre ce que vous voulez laisser entrevoir et ce que vous voulez enfouir, à tort ou à raison. Il est le bouclier qui protège les autres de nos réactions primitives. Il est celui qui cache notre réalité, celui qui dissimule nos blessures. Il est le gardien de notre jardin secret.


Imaginez juste un seul instant que nous nous laissions guider par nos pulsions ? Sans aucune retenue, ni censure. Juste nos impulsions pour seul chemin. Et bien si nous pensons que le monde va mal aujourd’hui, quand serait-il ?
Le carnaval de la vie nous réserve bien des surprises; Et quoi qu’on en dise, nous enfilons tous des masques à notre guise.


Let me see !!
Histoire en image ou en vidéo backstage !
Il est temps pour moi de vous dire à très vite pour de nouvelles aventures, de nouveaux songes et toujours plus de créations !
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